
Le manoir d’Isménil
XVe-XVIIe siècle
Pan de bois
Isménil
Le manoir d’Isménil construit dans la première partie du XVIIIe siècle présente des éléments conçus par les Yvemesnil entre la fin du XVe siècle et le dédut du XVIe siècle. La façade encorbellée, encadrée par des pignons en brique, possède deux portes jumelées rappellant le style gothique. Les vantaux sont renforcés par des clous dorés en fleurs de lis. Le manoir connaît quelques réfections au cours du XIXe siècle.
Le four à pain
XIVesiècle
Pierre
Manoir d’Isménil
Ce four à pain, datant probablement du dédut de la guerre de Cent ans, est l’élément le plus ancien du manoir détruit pendant la révolution. Dans la cour de cette ferme, on peut voir encore aujourd’hui un carré en pierre où les seigneurs du lieu parquaient les animaux confisqués aux paysans ne payant pas leurs impôts, ou les animaux errants.
L’ancienne Orangerie
Manoir d’Isménil
Au moment de la révolution, un manoir, dont la datation demeure inconnue, construit sur le domaine d’Isménil, est démoli. Il ne reste aujourd’hui de cet ensemble que les vestiges d’une chapelle transformée en grange et cette ancienne orangerie.
Le pigeonnier
XVIe siècle
Manoir de Quenonville
Rue Pierre Belain d’Esnambuc
Pierre Belain d’Esnambuc, qui prend possession de l’île de la Martinique au nom du roi de France en 1635, est né dans le manoir de Quenonville, ou Canouville, dont il ne reste aujourd’hui qu’une maison de style cauchois et ce pigeonnier. En 1935, des élus martiniquais, lors d’une manisfestation publique, rapportent à Quenonville une urne contenant de la terre de Martinique. Cette urne est toujours conservée par les propriétaires du pigeonnier. Une plaque rappelle cet événement local.
La villa Marie-Emilie
XIXe siècle
Pierre et brique
Sainte Marie
La villa Marie-Emilie était la propriété du marquis de La Faulotte. Il l’a léguée à la commune qui l’a ensuite revendue.
Le manoir de la Turgère
Vers le XVIIIe siècle
La Turgère
Par son architecture, ce manoir, probablement bâti au XVIIIe siècle, s’apparente davantage aux constructions du XVIIème siècle. Un colombier de la fin du XVIe siècle, de forme octogonale en brique et silex, et une chapelle de datation plus récente, complètent l’ensemble. Au XVIIIe siècle, les Asselins de Villequier, rendant plusieurs aveux au roi, nomment le fief de Creuilly comme sis à Allouville et appartenant aux Bigot de La Turgère.
La chapelle
Vers le XVIIIe- XIXe siècle
Brique
Manoir de La Turgère
Le château de Bellefosse
XVIIIe siècle
Bellefosse
De plan quadrangulaire, le chàteau est caractéristique de l’architecture de la première moitié du XVIIIe siècle. Il se trouve près du hameau du Cheval-Blanc où d’après les chroniques locales Henri IV loge le 18 mai 1592.
L’ancien Presbytère
XVIe-XVIIIe siècle
Pan de bois
Route de Caudebec
Cet ancien presbytère connaît plusieurs réaménagements, notamment au XVIIIe.